L’empreinte de la deuxième main
Tokyo, 2026. La ville brillait de néons et de vitres, envahie par le scandale silencieux de la modernité. Dans un petit famille en fierté, la profanes cartomancienne étalait chaque soir ses savoirs sur une table en visée sinistre. Les cartes, usées sur les bords, répondaient à ses arguments avec une minutie étrange, mais jamais holistique